Le 30 janvier dernier, j'interpelais les têtes de liste de :
- Continuons Ensemble, madame Sylvie Brachet, maire de Bergues sortante

- Bergues autrement, monsieur Paul Lammin, conseiller municipal d'opposition durant ces 6 dernières années après avoir été conseiller municipal majoritaire durant 6 ans, puis maire-adjoint majoritaire pendant 7 ans (soit déjà 19 années à la mairie de Bergues)

afin que nous débattions publiquement sur nos projets, nos visions, notre programme et que nous répondions aux questions des journalistes objectifs et neutres qui mèneraient ce débat.

A ce jour, aucune réponse des 2 autres prétendants à la fonction de maire. Et pourtant les journalistes sont partants.

L'exercice serait-il si difficile et la sincérité des engagements à ce point discutable pour refuser de se confronter dans le cadre d'une discussion respectueuse, démocratique et républicaine ? La question est posée.

Bonjour

Je mets en ligne le premier tract de campagne du groupe Bergues en Mieux qui est distribué ce vendredi et samedi matin à Bergues.

Bonne lecture.

Ci-contre les courriers envoyés ce vendredi 31 janvier à Mme BRACHET et M. LAMMIN les invitant à participer à un débat démocratique pour confronter projets, valeurs et visions.

Pour sûr que ces deux démocrates ne manqueront pas l'occasion de débattre devant et pour nos concitoyens, du moins je l'espère.

Jean Paul Delevoye, Maire de Bapaume, président du CESE écrit : "Nous allons passer d'une société de la performance à une société de l'épanouissement. Les maires qui étaient des faiseurs de rois, puis de construction, doivent devenir des faiseurs d'espérances individuelles pour nourrir les espérances collectives. La vitalité sociale et la solidarité de proximité sont au cœur des phénomènes de stabilisation des sociétés chahutées. Cette société de l'épanouissement, du bonheur de vivre et du partage va renforcer le rôle des maires dans la société : ils n'auront plus un enjeu de pouvoir mais un enjeu relationnel."

Je suis raccord à 100% avec JP Delevoye (ancien parlementaire, ministre et qui a fait sa carrière au RPR puis à l'UMP).
Faut-il dans nos petites communes continuer à cliver, mettre des étiquettes souvent négatives sur la tête de l'un ou de l'autre ? Ce qui peut-être vrai à Dunkerque, Lille, Arras ou Calais, l'est-il de fait à Bergues ?

J'ai le courage de mes convictions et me fiche du "qu'en dira t'on".
Je respecte les convictions de chacun tout en souhaitant vouloir construire "l'intérêt général" pour Bergues.
La qualité de vie, le lien social, la solidarité, le travail, ça n'appartient pas à quelques uns, c'est l'affaire de tous.

Et puis décider de son propre devenir en associant les habitants, n'est ce pas la raison d'être d'une commune?

Et quant au rôle du maire, bien entendu qu'il doit être de plus en plus relationnel. Le maire doit faire preuve d'écoute et d'empathie. Un maire autistique, fut-il un très bon technicien, ne sera jamais considéré comme un bon maire.
J'ajouterai également que le maire de demain devra également se muer en commercial, en VRP de sa commune pour aller chercher les subventions, les mécènes privés, l'argent des fondations afin de compléter son budget pour proposer plus et mieux.

Le journal des Flandres a initié une formule de visite de villes ou villages avec certains des candidats aux élections municipales.

Aujourd'hui, 3/4 de page en une et une pleine page dans l'encart spécifique "municipales 2014".


Au titre accrocheur du JDF(un Berguois veut dire oui à la CUD), je complèterais bien entendu en précisant : " ... si la majorité de la population berguoise le décide par référendum d'initative populaire ou par votation"