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20 juin 2011 1 20 /06 /juin /2011 11:21

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8 mai 2011 7 08 /05 /mai /2011 09:19
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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 16:43

On en a déjà eu 15% dimanche

 

(et 19.39% sur le canton de Bergues)

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11 février 2011 5 11 /02 /février /2011 08:17

Dunkerque : les paradoxes de Jean Bart

Dunkerque, troisième ville de la région. L’info a fait le tour du Nord – Pas-de-Calais en décembre depuis la fusion entre la cité de Jean-Bart et ses voisines de Fort-Mardyck et Saint-Pol-sur-Mer. Il faut dire que c’est une performance : car la communauté urbaine dunkerquoise détient le record régional de perte d’habitants ces dernières années. Sacré paradoxe. Pour une aire urbaine qui n’est pas à un paradoxe près justement. La preuve.

93 945 habitants. Contre 92 357 à Tourcoing. Mine de rien, c’est un sacré coup de tonnerre qu’a provoqué l’agglomération dunkerquoise en décembre en détrônant la tourquennoise du podium des villes les plus peuplées de la région : car désormais, le trio de tête n’est plus exclusivement métropolitain. Il faut compter avec Dunkerque (relire notre Texto).

Paradoxe 1 : troisième ville de la région avec 8 000 habitants de moins en sept ans, une tendance qui devrait continuer

Pour ce faire, la cité du corsaire Jean-Bart aurait-elle connu un afflux d’habitants exceptionnel ? Pas exactement : ce podium n’est dû qu’à une habile fusion entamée il y a voilà six ans. Avec les voisines de Fort-Mardyck et de Saint-Pol-sur-Mer. Et heureusement d’ailleurs pour Dunkerque : car, avec ses 68 000 habitants originels (recensement 2006), il y avait encore du boulot pour détrôner Tourcoing. D’autant qu’une tendance tenace ne l’aide pas à prendre du poids démographique. Recensement 2006 versus recensement 1999 : comme les grandes agglomérations du littoral nordiste (Calais et Boulogne), la communauté urbaine a perdu des habitants. Mais pas qu’un peu : plus de 8 000. Soit un record régional  pour une communauté urbaine qui pourrait se poursuivre au même rythme jusqu’en 2020, notait le SIGALE Nord – Pas-de-Calais. Paradoxal alors que la ville-centre  monte sur le podium des habitants !

Paradoxe 2 : une qualité de l’air pourrie, un littoral explosif, on attire toujours les industries !

Paradoxal, mais pas étonnant, nous diront certains. Car Dunkerque n’est justement pas à un paradoxe près. Et c’est peut-être ce deuxième paradoxe qui explique le premier. Polimeri, BASF, Ryssen, Arcelor, Total, la liste est longue. Point commun : ces entreprises, génératrices d’emplois, font partie de la très sélect liste dite des sites classés Seveso (une petite quinzaine au total). Ajoutez sur cette bande de vingt kilomètres de long sur trois de large, l’autre fleuron local installé les pieds dans l’eau, j’ai nommé… la centrale nucléaire de Gravelines, et vous avez le réjouissant tableau. Dunkerque est une vraie poudrière (d’ailleurs l’une des zones industrielles du port porte ce nom, au moins on ne peut pas dire qu’on ne sait pas où on met les pieds), bourrée au dioxide de souffre et aux poussières.

Avec ça, on peut comprendre que les habitants n’aient pas forcément tous envie de rester habiter du côté de la statue de Jean Bart. Et que du coup, les édiles locaux prennent le taureau par les cornes pour remplacer petit à petit l’industrie par des entreprises plus vertes et plus à la mode ? Que nenni, on vous l’a dit, Dunkerque est une terre de paradoxes. A l’heure du développement durable (Dunkerque ayant d’ailleurs accueilli la conférence des villes durables en 2010), entre deux activités tertiaires, on continue à remplacer l’industrie par l’industrie. Des preuves ? Il y a encore quelques mois. Eras Metal veut s’installer dans notre région. Une usine Seveso. La direction tente Calais. Refusé. Dunkerque a donc fait part de son intérêt, même si le projet ne recensait qu’une cinquantaine d’emplois. Quand on aime, on ne compte pas. Un deuxième exemple ? Le fameux (ou fumeux) terminal méthanier, promis par l’ex-ministre Estrosi pour remplacer Total (alors qu’il était prévu bien avant). Où l’installer ? Sur le site du Clipon, une plage connue pour sa faune et sa flore encore à peu près préservée et l’un des derniers poumons verts du Dunkerquois. Avis d’un écolo du coin sur le sujet il y a quelques mois : « Sur l’autel de l’emploi, on essaie de nous faire passer des choses dans le genre. Allez parler d’écologie après. » Si, aux gens qui s’en vont.

Paradoxe 3 : Un PS qui veut lutter contre le cumul des mandats, un maire cumulard en chef des élus nordistes

Il faut dire que pour défendre l’industrie sur son territoire en perte de population, Dunkerque possède un sacré chantre. Un ancien ministre du Travail justement dans les années 80 : j’ai nommé Michel Delebarre. Toujours présent à la barre des destinées dunkerquoises en 2011. A plusieurs titres d’ailleurs : maire de Dunkerque, président de la communauté urbaine de Dunkerque, député également. Un triptyque (que l’on pourrait compléter par ses nombreuses casquettes de président de machin ou de chose, relire Nos élus coiffent les casquettes à en perdre la tête) avec un budget conséquent à gérer qui le faisait apparaître parmi le top 5 des cumulards français fin 2009 (Cumul des mandats : Delebarre et Derosier dans le top 50) du Monde et du Post. Un immense honneur pour l’une des personnalités du vieux Parti socialiste. Parce qu’il est socialiste ? Oui. Et qu’est-ce qu’on trouve dans le Projet socialiste de 2012 ? « Pour limiter le cumul des mandats, nous ferons voter une loi dans les premiers mois du quinquennat, qui sera associée à un statut de l’élu, pour appliquer une limitation du cumul des mandats de parlementaires et d’un exécutif local. » Encore un paradoxe. Mais celui-ci, Michel Delebarre a annoncé qu’il allait le régler : tête de liste nordiste pour les sénatoriales, il laissera donc quelques-uns de ses mandats au passage dès la loi votée. Ça fera toujours un paradoxe de moins.

On n’a pas fait exprès, mais ce papier sort le lendemain d’une série de reportages consacrés à Dunkerque sur TF1.

 

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6 février 2011 7 06 /02 /février /2011 21:21

Un p'tit coq plumé certes, mais... la tête haute !

 

  

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Tant pis pour celles et ceux qui ont fait quelques douteux rapprochements mais il s'agissait bien entendu d'une analogie avec le footbaleurs français à l'issue de la dernière coupe du monde.

 

  

 

     

 

  

                                                     

 

                                                              

 

 

 

 

 

 

 

 

  

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5 octobre 2010 2 05 /10 /octobre /2010 11:34
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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 13:26

Julien DRAY n'est pas allé aux universtés d'été de son parti lui préférant le festival Rock en Seine.

 

Il y a aussi vu plein de groupes sympas au PS :

 

- Le Ségolène Soundsystem

- les Aubry New Beaters

- 2 many DelanoË's

et le fameux DSKarcade Fire

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25 septembre 2010 6 25 /09 /septembre /2010 14:13

Nicolas Sarkozy a visité la grotte de Lascaux pour célébrer le 70ème anniversaire de la découverte des fresques historiques.

Tous ces dessins d'hommes préhistoriques qui pourchassent les bisons lui auraient rappelé Hortefeux et tous ses potes ultra-sécuritaires de l'UMP qui traquent les Roms.

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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 17:54

 

 

http://dai.ly/dp9rpz

 

 

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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 08:50

L'eurodéputée Europe Ecologie  Eva Joly a remporté lundi 20 septembre l'édition 2010 du "prix Press club humour et politique" pour sa formule : "Je connais bien Dominique Strauss-Kahn, je l'ai mis en examen." Décerné par un jury de journalistes et d'humoristes que préside l'ancien PDG de l'AFP Jean Miot, le prix récompense chaque année des propos volontairement ou involontairement drôles d'une personnalité politique.

Le jury a également décerné un prix spécial au président du conseil régional de Languedoc-Roussillon, Georges Frêche, pour sa déclaration : "Des gens intelligents il y en a 5 à 6 % ; moi je fais campagne pour les cons." Le "prix des internautes" a été décerné à Frédéric Mitterrand pour la phrase : "Quand on m'appelle M. le ministre, j'ai toujours l'impression que Jack Lang va surgir derrière moi." Deux "prix de l'encouragement" ont aussi été décernés.

Le premier revient au député UMP des Alpes-Maritimes Lionnel Luca pour sa formule : "Il n'y a pas besoin d'être de droite ou de gauche pour dire des conneries." Le second va à Claude Goasguen, député et maire UMP du 16e arrondissement de Paris : "Une chose est sûre, ce ne sont pas nos suppléants qui vont nous pousser à nous faire vacciner contre la grippe A." En tout, quinze personnalités politiques avaient été nommées cette année pour ce prix. En plus des lauréats, le jury avait ainsi sélectionné :

- Bernard Kouchner, ministre des affaires étrangères : "J'ai bien pensé à démissionner, mais je n'ai pas voulu déserter."

- Ségolène Royal, présidente PS de la région Poitou-Charentes : "C'est moi qui maîtrise la rareté de ma parole politique, pour dire des choses intelligentes quand j'ai besoin de les dire."

- Dominique de Villepin : "Le Villepin nouveau sera gouleyant, fort en bouche et il aura de la cuisse."

- Luc Chatel, ministre de l'éducation nationale : "Une touche de rose, vert, rouge : c'est le retour de la gouache plurielle."

- Claude Guéant, secrétaire général de l'Elysée : "Je veux bien qu'on fasse un remaniement, mais on manque de stock."

- Laurent Wauquiez, secrétaire d'Etat chargé de l'emploi : "Il n'a pas fallu trente-cinq heures à Martine Aubry pour virer sa cuti sur Georges Frêche."

- Patrick Balkany, député et maire UMP de Levallois-Perret : "Je suis l'homme le plus honnête du monde."

- Rachida Dati, députée européenne UMP : "Je n'ai jamais cherché à attirer l'attention des médias."

- Laurent Fabius, député PS : "Je ne suis pas une pompom girl de DSK."

- François Goulard, député et maire UMP de Vannes, pour sa déclaration : "François Fillon a tellement de qualités qu'il mériterait d'être premier ministre."

En 2009, c'est le maire socialiste de Paris, Bertrand Delanoë, qui l'avait emporté avec cette sortie : "Le vrai changement au PS, ce serait de gagner." L'année précédente, Jean-Louis Borloo, ministre de l'écologie, avait été décoré pour avoir dit : "Sarkozy, c'est le seul qui a été obligé de passer par l'Elysée pour devenir premier ministre."

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