Les bons agissements du président de la CCCB, André Figoureux.

Ce monsieur, candidat au poste de conseiller général du canton de Bergues, a écrit ce dernier samedi sur son blog : 

(...) Pour être efficaces et attractives, ces liaisons ne peuvent être interrompues. Avec les différents parcours , les longueurs de circuits seront ainsi variées et à même de répondre aux souhaits propres à chacun. La CCCB travaillera donc en étroite collaboration avec les communes concernées, à savoir Bergues, Bierne, Quaëdypre et Socx.

Madame Anne Vanackère, conseillère déléguée à l'environnement pour la ville de Bergues en a déjà accepté le principe lors d'une discussion, dimanche dernier. Les autres communes seront contactées dans la foulée.

Personne n'a le monopole de l'écologie. Par contre, elle se traduit de manière concrète au travers des réalisations de la CCCB.

Si madame VANACKERE, conseillère déléguée à l'environnement, a validé positivement ce principe, elle a également précisé à l'intéressé à l'occasion de l'inauguration du marché de Noël de Bergues que c'est avec Mme le Maire et son Adjoint à l'Environnement qu'il fallait discuter et travailler.

Réponse du président de la CCCB : "Je ne travaille pas avec ça".

Les démocrates apprécieront !

Une juste répartition des tâches et des rôles existent au sein de l'équipe municipale berguoise que ce soit au niveau de l'environnement mais comme partout ailleurs également.

Considérant que ce type de dossier ne fait pas partie de ses domaines d'intervention, Mme VANACKERE lui a fort logiquement précisé qu'il devait s'adresser à moi.

L'objectif de Mme VANACKERE était que le dossier du corridor biologique soit le mieux traîté possible. Si le président de la CCCB préfère éviter de travailler avec l'adjoint à l'envrionnement, démocratiquement élu, ce n'est ni Mme VANACKERE, ni moi ni lui qui allons en pâtir ; ce ne sera qu'un triste "dommage" pour l'environnement !

Quand on veut que quelque chose fonctionne, on collabore avec les personnes qui connaissent le sujet et si on ne

s'entend pas avec certaines d'entre-elles, tant pis,on travaille pour le bien commun. A moins que l'objectif soit de diviser pour mieux régner mais cette vieille ficelle ne marche pas avec celles et ceux, honnêtes, qui ont des valeurs.

Ceci est notre vision du travail d'élu ; elle n'est malheureusement pas partagée par tous !

Nous préciserons enfin au président de la CCCB que faire du green-washing, ce n'est pas faire de l'écologie.

José SZYMANIAK

en collaboration avec Anne VANACKERE.