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  • Courriel : joseszyma@gmail.com
Lanceur d'alertes berguois.
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11 février 2010 4 11 /02 /février /2010 10:40

Les projets de porcheries se multiplient

sur Hondschoote et le canton…

 

Impact Humain. Impact Ecologique. Impact sur notre ruralité.

 

Discutons-en  et réfléchissons collectivement pour ne pas subir l’irréversible mais aussi permettre à chacun de vivre de son travail !

 

Citoyens, agriculteurs, associatifs, élus, ...

Quel avenir voulons-nous pour nos territoires ruraux ?

 

Samedi 6 mars 2010

10h-12h

Au café chez Noye

1 chemin des Dames

59122 KILLEM

 

Vous êtes cordialement invité(e) à cet atelier participatif

 conçu dans un esprit constructif.

Inscription préalable souhaitée (capacité du lieu limitée)

 

4092753760_3ea53a1a51.jpgPAF : 1 consommation sur place merci.

  

Arnaud GINIONS

 Conseiller municipal

Groupe « Nouvelle Ere pour Hondschoote »

 

Inscription : cliquez ici
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9 février 2010 2 09 /02 /février /2010 10:13
Appel « Climat-énergie du Nord-Pas de Calais » a signer sur :


Pour que la région :
* s’engage dans la division par 4 des émissions régionales de CO2 d'ici 2050 et la fermeture des réacteurs nucléaires de Gravelines d'ici 2030.
* crée au minimum 12 000 emplois dans le secteur de l’énergie d’ici 2020, 28 000 emplois d’ici 2050

L'association Virage-énergie Nord-Pas de Calais interpelle les listes républicaines candidates à la direction de la Région Nord-Pas de Calais pour qu'elles s'engagent :
* sur des politiques « climat-énergie » visant la sobriété, l'efficacité énergétique et le développement des énergies renouvelables.
* sur dix chantiers prioritaires.


Virage énergie Nord-Pas de Calais
23 rue Gosselet - 59000 Lille
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7 février 2010 7 07 /02 /février /2010 21:12
Le terrain vague de l'autre côté du cimetière va bientôt retrouver une autre vie

samedi 23.01.2010, 05:04 - La Voix du Nord

 Le chantier a consisté à faucher une partie de la roselière, àrecreuser la mare et à enlever les déchets verts. 
Le chantier a consisté à faucher une partie de la roselière, àrecreuser la mare et à enlever les déchets verts.
| BERGUES |

Au niveau du rond-point du cimetière de Bergues, enclavé entre la D 916  ...

 

et la voie ferrée Dunkerque - Hazebrouck, un terrain de 10 600 m² appartenant au conseil général est actuellement exploité en partie par l'association Apinord qui y a créé un rucher (actuellement six ruches).

Un tiers de cette zone humide comprenant une roselière et une mare est riche en faune et en flore, explique Didier Rommel, président d'Apinord. On y a découvert des plantes intéressantes comme l'achillée, le sternutatoire, l'oenanthe et le plantain d'eau à feuilles lancéolées et également des espèces d'oiseaux peu communes.

Vingt-quatre personnes sur le terrain

Délaissées depuis longtemps, ces terres sont en partie envahies par les orties, la broussaille et les roseaux. Une charte a été établie afin de réhabiliter ce site. Cette opération financée par le FLIP (Fonds local d'initiative de pays) en partenariat avec le Pays des moulins, le conseil régional et des banques et dirigée par les Blongios, une association nationale qui monte des chantiers-nature sur des espaces naturels, a rassemblé le week-end dernier 24 personnes sur le terrain. Aucun engin motorisé n'était autorisé afin de préserver l'environnement.

Munis de grandes faux à l'ancienne, de pelles, de fourches, les bénévoles dont Sylvie Brachet, maire de Bergues, et José Szimaniak, adjoint aux Travaux et à la Voirie, ont, en une journée, fauché une partie de la roselière, recreusé la mare (environ 15 m²) et enlevé les déchets verts.

Une nouvelle vie aquatique

Cette opération va préserver cette zone humide en limitant la propagation des arbres ligneux, favoriser la pousse des plantes citées plus haut. La réhabilitation de la mare va permettre de créer une nouvelle vie aquatique (grenouilles, libellules...) et de la biodiversité. Le débroussaillage permettra aussi aux riverains de visiter ultérieurement ce nouveau site.

Pour José Szimaniak, le concept de ce

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4 février 2010 4 04 /02 /février /2010 17:30
EOLIEN
Une première ferme en régie publique

 

Le 21 janvier 2010, le président du Conseil régional de Picardie, Claude Gewerc, a posé la première pierre du parc éolien « du moulin à cheval »

Ce « 1er parc public éolien de France», d’une puissance modeste (4 turbines de 2 MW fournies par Vestas) est exploité par la régie communale de Montdidier.

Il assurera plus de la moitié de la consommation électrique de la commune (19 GWh par an). Cette opération, de 11,14 millions d’euros, bénéficie du soutien financier de la Région, de l’Europe (via le Feder) et du Conseil général de la Somme.

Pour en savoir plus :

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2 février 2010 2 02 /02 /février /2010 18:03

La crise du logement s’est aggravée en 2009 sous l’effet de la crise économique, alerte la Fondation Abbé Pierre dans son 15e rapport annuel sur "L’Etat du mal-logement en France" publié lundi.

Qu’il s’agisse de la construction neuve ou du parc existant, l’offre immobilière s’est "contractée" en 2009, aggravant la pénurie de logements: en fin d’année, la France manquait de 900.000 logements, soit 100.000 de plus qu’à fin 2008.

Avec la crise économique, les ménages ont préféré rester dans leur logement plutôt que déménager, réduisant d’autant l’offre immobilière dans le parc privé existant (-500.000 logements par rapport à 2007) et social, explique la Fondation.

Parallèlement, le coût mensuel moyen d’un logement ne cesse de progresser et les nouveaux acquéreurs doivent s’endetter sur des périodes toujours plus longues: 14 ans en moyenne en 2001, 18 en 2009.

Pour les locataires, la légère baisse globale des loyers enregistrée en 2009 "ne modifie pas la tendance à la hausse" dans le privé, souligne le rapport.

La Fondation Abbé Pierre pointe également du doigt le développement de la "précarité énergétique", qui touche 3,4 millions de ménages ne pouvant chauffer leur logement à un prix raisonnable, et d’une "zone grise" du mal-logement, constituée de personnes installées chez des tiers, dans des campings, des squats, des caves...

Dans ce contexte, le logement devient un "creuset des inégalités": il "renforce le déterminisme social" car, logiquement, ce sont les plus modestes qui sont davantage concernés par cette crise, souligne le rapport. C’est particulièrement le cas pour les quelque 600.000 enfants mal logés, avec tous les problèmes en termes de santé, de scolarité et d’intégration sociale qui en découlent.

Un tableau qui risque encore de se noircir en 2010, alors qu’un million de chômeurs vont arriver en fin de droits en cours d’année, souligne la Fondation Abbé Pierre. Or, les responsables politiques sont apparus "plus soucieux en 2009 de traiter la crise immobilière qui s’est développée dans le sillage de la crise financière que d’apporter des réponses à la crise du logement", dénonce-t-elle, en proposant une batterie de mesures à instaurer.

 

 

 

 

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31 janvier 2010 7 31 /01 /janvier /2010 11:30

Un principe

* SIMPLE : en quelques clics sur Internet et le tout est joué
* ECONOMIQUE : vous partagez vos frais avec les covoiturés ou vous partagez ceux de celui ou celle qui vous transporte
* ECOLOGIQUE : vous êtes 3 ou 4 dans une voiture au lieu d'être seul(e) donc moins de Co2 rejeté dans l'atmosphère, moins de stress au volant puisque moins de voitures donc moins de bouchons...


Vous habitez Bergues et vous rendez régulièrement sur Dunkerque
Vous habitez Bergues, Dunkerque, Graveline ... et vous rendez régulièrement ou occasionnellement à Lille
Vous travaillez dans une entreprise du bassin dunkerquois et pensez que d'autres pourraient "faire route" (comme on dit chez nous, avec vous.

Consultez le site de l'association "COVOIT-NORD" qui propose GRATUITEMENT ses services.

Rejoignez-les sur le site   http://www.covoit-nord.org
(pour des infos plus précises : info@covoit-nord.org ou 06.82.13.38.36)

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29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 15:39
Dans un rapport qui n'a pas été diffusé, dont Le Monde s'est procuré une copie datée de fin décembre 2009, la Cour des comptes dresse un constat sévère des "insuffisances" de la politique de l'eau en France dans les années 2000, et doute "de la capacité de la France d'atteindre, dès 2015, les objectifs de qualité qu'elle s'est assignée". La directive-cadre européenne sur l'eau fait obligation aux Etats membres d'atteindre le "bon état écologique" à cette date.

Dans ce document d'une vingtaine de pages, la Cour dénonce la persistance des pollutions d'origine agricole et le non-respect des directives européennes sur la teneur en nitrate des eaux. "Les instruments d'intervention mis en oeuvre pour combattre ce type de pollution sont assez modestes, écrivent les auteurs. Le levier fiscal est largement inopérant, faute de redevance sur la pollution azotée (...) réellement dissuasive", malgré une augmentation récente de celle-ci.

Lire l'article
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29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 15:35

LILLE / DÉVELOPPEMENT DURABLE
Quand l'énergie sera produite sur les toits...


Publié le lundi 25 janvier 2010 à 06h00

panneaux solaires

Thierry Janssoone, président de l'association Solaire en Nord, sur ses propres toits. Photo Archives/Hubert Van Maele

Nous vous l'annoncions en novembre : la Ville de Lille lance en ce début d'année un projet visant à louer les toits lillois et métropolitains pour créer de l'énergie solaire en y installant des panneaux photovoltaïques. L'opération innovante est en bonne voie.


MARIE TRANCHANT > lille@nordeclair.fr

Le projet avance. Et d'ici quelques mois, plusieurs installations devraient voir le jour. On ne les verra pas directement car ce sera sur les toits lillois et métropolitains que ça se passera. Mais, c'est certain, on en entendra parler. Déjà nous vous dévoilions dans nos colonnes cette initiative novatrice : la Ville de Lille lance une coopérative solaire qui produira de l'électricité via des panneaux photovoltaïques (notre édition du 18 novembre). Dans la région, l'idée est inédite.

Et cette année 2010 sera, pour Thomas Roillet, porteur du projet Solis (société locale d'investissement solaire), une année chargée qui verra la concrétisation de ce projet mêlant la municipalité et l'association Solaire en Nord, créée en 2005 par les dix premiers producteurs photovoltaïques de la région. « Le projet est né il y a trois ans, se souvient Thomas Roillet. L'idée est de louer des toitures pour développer le photovoltaïque dans la région. » Et produire, donc, de l'énergie propre.

La SCIC (société coopérative d'intérêt collectif) aura pour objectif de gérer les relations entre les différents participants à l'opération : citoyens, associations, entreprises, partenaires financiers. Ses statuts sont en train d'être rédigés, ainsi que les carnets de commande. En février, les premiers devis avec des installateurs seront réalisés pour probablement signer les premiers contrats de location entre mars et mai. La période de juin à décembre, elle, sera consacrée à l'installation des premiers panneaux.

Des toits orientés au Sud
Pour en arriver là, il faudra passer par la phase de prospection, en clair, trouver les toits adéquats. « Les propriétaires peuvent être publics et privés, précise Thomas Roillet. Les installations se feront sur des surfaces allant de 300 m² à 2 000 m². Les toits doivent être orientés au Sud, inclinés à 35°. Nous travaillerons sur des bâtiments isolés ou à rénover. » Bref, n'importe qui ne peut pas louer son toit (le loyer annuel est de 1 E par m²) pour une planète plus verte.
Mais les porteurs de projet espèrent trouver 24 000 m² de superficie d'ici cinq ans. L'investissement devrait atteindre quelque 12,1 millions d'euros.
« Il faut trouver les surfaces, explique Philippe Tostain, élu au Plan solaire. La Ville, elle, avance sur les conditions juridiques du projet. C'est quelque chose de très innovant, mais techniquement et juridiquement complexe. » On n'en saura pas plus pour le moment, mais une délibération sera votée à ce sujet au prochain conseil municipal, le 1er février.
« L'idée est de développer les énergies renouvelables localement, de développer l'emploi et d'être un moteur du développement durable dans la région », conclut Thomas Roillet. Et au-delà de la dimension environnementale, c'est un véritable projet de ville qui est en train de naître, permettant aux citoyens d'investir collectivement, aux collectivités de développer l'emploi. Un projet global et durable dont on reparlera ces prochains mois.w

Énercoop, fournisseur d'une électricité 100 % verte


Autre SCIC dans le domaine du développement durable, Énercoop est en train de créer une antenne dans la région. L'objectif, à terme, est de produire de l'électricité dans le Nord - Pas-de-Calais et que « les citoyens se réapproprient l'énergie ». Consommez moins, mais consommez mieux. C'est le credo d'Énercoop, société anonyme transformée ensuite en SCIC (société coopérative d'intérêt collectif). Un fournisseur d'électricité « 100 % verte », annonce Guillaume Jourdain, chargé du projet dans le Nord - Pas-de-Calais. Car si la société a une vocation nationale, elle est en train de créer une antenne dans la région avec, à terme, l'ambition de produire sa propre électricité. La particularité d'Énercoop, donc, est de proposer une énergie issue de l'éolien, du photovoltaïque, du biogaz et de l'hydroélectricité. « L'idée est d'assurer à tous l'accès à une énergie propre à un prix abordable et que les citoyens se réapproprient la question de l'énergie », explique Guillaume Jourdain. Et comme il s'agit d'une SCIC, le client peut aussi devenir partie prenante de la société dans laquelle, pour toute décision, chaque personne a une voix. « Une fiche sur Internet » Laurent Courouble est de ceux-là et ne regrette pas son choix : il a décidé d'opter pour Énercoop en lieu et place d'EDF. « J'ai rempli une fiche sur Internet en deux minutes, se souvient-il. Énercoop a géré tout le changement avec EDF, je n'ai eu aucune coupure. Il faut aussi dire que les fils et le compteur ne changent pas. » Quant au tarif de cette énergie propre, il est supérieur à celui d'EDF, mais Laurent Courouble précise : « J'ai changé quelques installations chez moi en même temps, je suis passé au chauffage au bois. Le surcoût n'est que d'une dizaine d'euros par mois. » Guillaume Jourdain ajoute : « On a aussi un objectif de sensibilisation. On est le seul fournisseur d'électricité à dire : "Attention, consommez moins !" »wM.TR. www.enercoop.fr

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29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 10:34

Aujourd’hui je souhaiterais réfléchir avec vous sur notre mode de consommation alimentaire.  Nous sommes de plus en plus sensibilisés par l’acte de nos achats quotidiens. Je disais récemment dans une note qu’être écologiste, c’est peut-être cette manie régulière de se questionner sur sa façon de vivre, de conscientiser son impact sur la planète, sur le respect des autres et d'évaluer son empreinte pour les générations à venir. C’est justement tout un programme pour l’achat alimentaire.

 

Tout serait réglé et nous pourrions ranger notre bonne conscience d’écolo si nous résumions que l’achat de produits biologiques et/ou équitable  est LA solution à la consommation responsable. Mais dans le détail, ceci n’est pas aussi réducteur. Pourquoi ?

 

Le commerce équitable qui permet des relations Nord Sud moins sous pression concurrentielle en rémunérant les petits producteurs d'une manière plus juste est un atout. Mais quelqu'un me disait récemment avec justesse que bien entendu qu'il faut aider les petits producteurs du Sud mais il faut aussi soutenir les producteurs du Nord à quelque pas de chez nous, petites installations qui galèrent. Pensons donc le commerce équitable Nord Sud mais aussi un commerce équitable Nord Nord.

 

Ensuite la production Bio. Je ne vais pas rappeler tout le bénéfice de la culture biologique que cela soit pour le consommateur, le producteur et la terre. Mais acheter des produits bios hors saison donc ayant fait un certain nombre de kilomètres n'est pas des plus écologique en terme de CO2.

 

En résumé, notre acte de consommation réfléchi dépend fortement du produit. Oui à l’achat des produits non cultivés localement en commerce équitable. Oui aux produits bio de proximité. 1000 fois Oui. Mais le commerce équitable et le bio à eux seuls ne sont pas écologiquement suffisants! Le marketing qui se fait jour sur les produits bios doit nous éveiller à ce danger. Il ne sert à pas grand-chose de mettre des centimes de plus pour du bio si c'est pour augmenter le profit de certains gros groupes agroalimentaires peu scrupuleux, sous forme de culture incertaine et en même temps rajouter du CO2 inutilement (transport, suremballage,  …).  

 

Alors vite, offrons des débouchées locales pour une agriculture biologique locale,  soutenons des AMAPS (association pour le maintien d'une agriculture paysanne), créons des liens producteurs/consommateurs, aidons pendant la conversion des installations sur plusieurs années les paysans, remodelons une agriculture vivrière moderne. Ceci passe par un autre projet de société par le biais de l'écologie politique!

 

Je vous laisse pour conclure avec une vidéo  du CEDAPAS (Centre d'Etudes pour le Développement d'une Agriculture Plus Autonome et Solidaire) Nord Pas de Calais avec des témoignages d'agriculteurs.

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